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Je pense que assez vite, probablement dans la première moitié de 2025, le problème sera réglé d'une façon ou d'une autre. Je pense que la défaite est tellement cinglante qu'elle servira de leçon aux autres pays Baltes qui sont déjà sous domination de l'occident. La Pologne par exemple semble en prendre tout doucement conscience. Oui, c'est clair qu'il y a énormément d'esbroufe, c'est pour ça que j'ai modifié le titre il y a peu, j'ai ajouté "provocations", fort heureusement, Poutine n'y répond que de façon très mesurée.
Faut attendre Trump, même si je ne pense pas qu'il y ait quoi que ce soit à négocier, cela sera une capitulation complète aux conditions de la Russie, elle a toute les cartes en main, que ça d'un point de vue militaire mais aussi économique. Après, ça ne nous sera évidement pas présenté ainsi, c'est évident. Je pense que Poutine est assez malin que pour laisser penser qu'il y aura du donnant donnant. Lui se fiche du paraître, ce qui compte c'est le résultat. C'est tout le contraire de nous, qui passons notre temps à faire semblant. Et bien nous nous contenterons du semblant, c'est à dire de bien peu de chose, mais aussi des conséquences d'avoir fait semblant.
Après je vois mal un autre pays partir au sacrifice, l'
#UE ne va pas pouvoir tenir le financement bien longtemps, ça coûte extrêmement cher, et puis il faut des soldats.Apparemment, la CIA ment à Trump, je l'ai entendu dire que la Russie avait perdu 500.000 hommes, ça n'est tout simplement pas possible, même si on ne connait pas le chiffre exacte, ça ne tient pas du tout la route. Les derniers 300.000 hommes recrutés sont toujours pour la plupart en formation (un an). Trump doit se méfier de son entourage, j'espère qu'il va le comprendre très vite. La Russie avance partout, lentement mais surement.
Lentement parce que le but des russes n'est pas de conquérir du terrain, le but des russes est d'exploser l’arsenal de l'OTAN jusqu'à épuisement et ce en minimisant ses propres pertes. Ceci pour assurer sa sécurité et de façon définitive.
Il y a un énorme quiproquo créé par l'occident depuis le début. Le Dombass est pratiquement libéré, ce qui était le but initial. En fait, les russes avanceront tant que les Ukrainiens reculent tout en ne reconnaissant pas leur défaite. Zelensky n'a pas l'autorisation de le faire, c'est aussi simple que ça, il sait pourtant pertinemment bien qu'il n'a aucune chance, depuis le début, c'est pour ça qu'il a voulu négocier et que
#Johnson est venu lui interdire et lui a promis un soutien sans limites, sous-estimant gravement les capacités de la Russie. #Zelensky y a cru, mais pas longtemps.De plus, le jour où la guerre prend fin, il saute, et pas que lui à mon avis, il le sait, et par dessus tout ça, les néo-nazis qui l'entourent encore ne vont pas du tout apprécier et risquent fort de se retourner contre lui, je pense qu'il devra courir très vite. Cela m'étonnerait déjà beaucoup qu'il soit toujours en Ukraine.
Et maintenant les russes sont aux dernières nouvelles à 2 km de
#Pokrovsk , on nous dira comme d'habitude que c'est une ville sans importance, il n'empêche qu'apr!s c'est de la plaine, il n'y a plus ni villes, ni fortifications, ni forets où se retrancher jusqu'au #Dniepr , ce qui va encore accélérer les choses.Possible que je me trompe mais à mon avis pas de beaucoup.
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Si j'ai bien compris tu sembles penser que la Pologne à adouci son attitude par rapport à la Russie, mais je n'ai pas cette impression moi, je viens encore de lire des choses qui montrent l'inverse.
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Il y a des signes mais timides, voici un exemple. Le changement je le vois surtout dans la société civile. Comme partout en Europe d'ailleurs, le pouvoir diverge de plus en plus fortement avec la société civile. Mais rien en se fait jamais sans l'assentiment des peuples, dans le sens "Qui ne dit mot consent". C'est donc des détails importants.
Le ton monte entre l'Ukraine et la Pologne, le Directeur Anton Dobrovitch de l'Institut de la Mémoire Nationale d'Ukraine a été limogé, officiellement car en fin de contrat, mais la raison est à la fois le scandale de publications historiques jugées pro-russes et soviétiques, mais surtout son obstination à bloquer la coopération de l'Ukraine dans l'exhumation de dizaines de milliers des victimes des massacres de Volhynie et de Galicie (été 1943). Cela provoquerait des comptages dérangeants, les bandéristes refusent d'aborder le sujet et que Kiev l'aborde, enfin les chiffres sont entre 80 et 300 000 victimes. Les exhumations permettraient de faire des comptages et des analyses sur les corps, les conditions des massacres furent particulièrement horribles... l'Ukraine ne veut surtout pas que le dossier soit ouvert. Cependant Kiev résiste toujours, Dobrovitch n'aura été que le dindon de la farce.
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