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D'accord sur les conséquences, mais la France n'est pas le pire élève de l'
#UE, bien au contraire elle est le meilleur élève. Tout ce cinéma, que je n'ai d'ailleurs pas commenté qui a duré des mois, tout cet argent jeté par les fenêtres, n'avais qu'un seul but, mettre la France en situation de mise sous #tutelle de la #Troïka exactement comme ce fut le cas pour la #Grèce .Je dirais donc que tout se passe comme prévu. Ce qui va permettre de pomper tout ce qu'il reste à pomper. Tout cela avec la complicité des oppositions de carton.
Ils ne vont pas le dire ainsi, pas de budget, donc amendes à la clé, que la France ne pourra pas payer, forcément, et ils diront, d'accord, vous ne payez pas pas, mais par contre alors, vous allez tous obéir à la lettre. Et ils "sauveront" la France, comme ils ont "sauvé" la Grèce, pays 404 dont plus personne ne parle.
La France va vendre ses biens, les français vont voir pleuvoir les taxes de partout, bref une austérité comme jamais et dans quelques années, on apprendra que 90% du "sauvetage" est allé directement dans la poches des créanciers, privés évidemment, puisque ils sont prévu que la
#BCE ne peut directement "aider" un pays. -
L'UNION EUROPÉENNE A DÉTRUIT SON PAYS...NOUS SOMMES LES PROCHAINS - Yánis
#VaroufákisYánis Varoufákis est économiste, il a été ministre des Finances de la
#Grèce en 2015, durant la crise de la dette grecque, où il a mené des négociations tendues avec l'#UE , la #BCE et le#FMI. (#Troïka )Fortement opposé aux mesures d'austérité imposées par la Troïka, il a finalement décidé de démissionner lorsque le « plan de sauvetage » européen a été accepté par son gouvernement. Il est l'auteur de nombreux ouvrages critiques sur le capitalisme et l'économie mondiale, dont récemment « Les nouveaux serfs de l'économie » (LLL, 2024).
Il est également co-fondateur du mouvement politique européen DiEM25, plaidant pour une démocratisation de l'Europe.
Pour Élucid, Yánis Varoufákis revient sur ses années de combats contre le capitalisme mondialisé responsable de tant d'inégalités, mais également sur la crise grecque, symptomatique de la nature profonde de l'Union européenne : austéritaire, dysfonctionnelle et antidémocratique.