🇺🇸 Les États-Unis imposeront des droits de douane de 100 % sur les importations des #BRICS s'ils tentent de remplacer le dollar dans le commerce mondial, a déclaré Trump.

Le rôle des BRICS dans la lutte pour le pouvoir dans l’hémisphère occidental

Les efforts de l’administration Trump ( https://tass.com/politics/1905435 ) pour renommer des lieux dans l’hémisphère occidental marquent le début d’une démarche stratégique visant à affirmer sa domination sur la région panaméricaine, comme l’a souligné Alexander Stepanov, directeur de programme à l’Académie des sciences politiques et chercheur principal à l’Institut d’études latino-américaines de l’Académie des sciences de Russie.

En outre, Stepanov a mis en garde contre d’éventuelles « interventions humanitaires » présentées comme des mesures antiterroristes, soulignant le retour de Cuba sur la liste des pays sponsors et la désignation des cartels mexicains comme organisations terroristes. Stepanov a noté que Washington ne rencontre que peu de résistance dans l’hémisphère occidental, interprétant l’intention de Trump de faire respecter l’ordre dans son « arrière-cour » géopolitique. Cependant, les réactions d’autres dirigeants, comme le chinois Xi Jinping ou le brésilien Luiz Inacio Lula da Silva, qui prône la dédollarisation régionale, restent incertaines.

« La balle est dans le camp des #BRICS. Apparemment, cette année, nous verrons de nouveaux acteurs régionaux dans le groupe, notamment la Colombie et le Mexique. Nous sommes au cœur de la bataille pour l'Amérique latine et les Caraïbes, avec tous les acteurs clés alignés pour une attaque stratégique et des manœuvres de positionnement », a suggéré Stepanov.

🇷🇺 Lancement du projet « BRICS Talk » - dialogue avec les experts des BRICS

Le Conseil d'experts des BRICS-Russie annonce le lancement d'un nouveau projet « BRICS Talk : Bridging Ideas ». Il s'agit d'une série unique d'entretiens avec des experts, des chercheurs et des praticiens de premier plan travaillant sur des domaines clés de l'agenda des #BRICS.

Les experts révèlent les tendances, les initiatives et les défis actuels dans le cadre des BRICS, ainsi que les sujets les plus importants liés à l'interaction entre les pays. Nous posons également à nos invités des questions qui nous permettent de révéler une nouvelle facette d'eux : leur parcours de vie, leurs sources de motivation et leurs intérêts personnels.

La première invitée - Victoria Panova, chef du Conseil d'experts des BRICS-Russie, vice-rectrice de l'Université HSE, Sherpa russe du W20 - partagera ses points de vue sur les perspectives actuelles de développement des BRICS à l'ère du changement global.

#Trump menace les #BRICS de taxes à 100% s’ils continuent de vouloir se détourner du #dollar

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Le risque d'une guerre mondiale a chuté brutalement, Trump est anti-guerre. Même si je pense qu'il ne pourra pas tenir sa promesse de mettre fin à la guerre rapidement. La Russie à toutes les cartes en main, que ça soit militairement, ou économiquement, de plus la confiance est totalement rompue. La Russie n'acceptera jamais un Minsk III.

Donc, je pense que ce qu'il va se passer, c'est que Trump va proposer qu'on en reste là et que chacun conserve ce qu'il a acquit au moment où auront lieu les négociations. D'ici là les russes auront encore beaucoup avancé.

Il proposera probablement une grande zone tampon, et le réarmement de l'Ukraine (ce qu'il en restera) afin qu'elle puisse garantir sa défense.

C'est ce qui peut arriver de mieux pour l'Ukraine, oui, mais ça ne conviendra pas aux russes qui n'ont pas envie de remettre le couvert dans cinq ou dix ans.

Donc je pense, que Trump finira par se désengager totalement et ne plus s'occuper de cette affaire. Il laissera l'UE, et Kiev se débrouiller. On peut faire un tas de reproches à Trump, cependant, il sait compter, il sait ce que ça lui coûte, de toute façon l'objectif d'un point de vue américain est atteint, je parle de la rupture pour longtemps entre l'UE et la Russie.

Ce n'était pas son objectif, c'était celui de la mafia derrière Biden

Lui il avait dit :" Ne poussez pas la Russie dans les bras de la Chine".

Il est trop tard, c'est fait et bien fait et pas que la Chine vu expansion rapide et inéluctable des #BRICS . Il n'y a pas de retour en arrière possible.

Mais l' #UE, même si elle va adorer ce rôle, n'a absolument pas les moyens de poursuivre seule une guerre de haute intensité, que ça soit en armes/munitions ou en hommes, contre la Russie.

Donc, au final il faudra très probablement attendre l'effondrement total de l'Ukraine. Je peux me tromper, mais j'ai du mal à imaginer un autre scénario.

J'ai écouté la réaction de la Russie via #Lavrov , c'est un mélange à la fois de méfiance, de scepticisme, bien que ça soit tout de même une "bonne nouvelle" du style, toute discussion est une bonne nouvelle.

Vers une dictature climatique? | Idriss Aberkane avec Christian Gerondeau

L'OCDE compte 1,32 milliards d'habitants et on y parle déjà publiquement de leur faire manger des insectes et de rationner leurs déplacements à vie. Les #BRICS comptent 3,3 milliards d'habitants et enchaînent les commandes d'avions de ligne et les mégaprojets d'infrastructure. La Chine à elle seule coule plus de béton en 2 ans que tous les USA durant tout le 21ème siècle... et ce même quand la construction représente presque 30% des émissions de CO2 mondiales.

Christian Gerondeau a vécu assez longtemps pour connaître l'époque où les catastrophistes climatiques prédisaient publiquement - et dans la presse - une nouvelle ère glaciaire pour les années 1990, ou encore les prédictions de fonte totale des glaces arctiques pour 2010. Il vient partager avec nous sa très haute expérience de la politisation extrême des enjeux climatiques. Oui il existe des défis environnementaux, et disons-le même des crises, mais leur résolution n'est absolument pas l'enjeu cardinal du catastrophisme ambiant.

Pour les nouveaux Savonaroles et autres prêcheurs de l'apocalypse, seule la confiscation massive des libertés publique compte.

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🇷🇺 Poutine : "L'Occident cherche à cantonner la Russie à un simple rôle de fournisseur"

Lors d'une intervention marquante, le président russe Vladimir Poutine a accusé l'Occident de tenter de maintenir la Russie à "sa place", en la réduisant à un simple fournisseur de matières premières.

Ces déclarations surviennent dans le contexte des discussions au sein du #BRICS, où les tensions géopolitiques s'intensifient.

Bonne idée, et je pense même que comme il ne sera pas question de déranger le club à deux vitesses et double standard, les #BRICS finiront par sortir de ce machin, pour créer autre chose de plus équitable.