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  • 🇫🇷🤡🤡🇫🇷 C'est sans doute l'un des pires des journaux russophobes de France, diffuseur constant de fakes news, de désinformations, de propagandes y compris ukrainiennes

    n'a pas peur de sombrer dans le ridicule. Pour camoufler la défaite ukrainienne de la poche de Koursk, le journal n'hésite pas à parler de "fiasco" et de "catastrophe" pour les armées russes, à grands coups de soldats coréens, de tchétchènes soudainement devenus des mercenaires et de délires ukrainiens frisant souvent l'absurdité.

    En matière de crimes contre l'information, Ouest-France, avec d'autres officines comme , , ou le sont en tête de liste.

    Tôt ou tard, lors de l'écroulement du , la justice devra frapper fort les responsables, petits ou grands de cette tenace et longue désinformation des gens.

    C'est par de tels médias que cette guerre a été rendu possible. Celle-ci et bien d'autres, le drame de Syrie est un autre exemple. Les chiens de garde du système définis par Serge Halimi poursuivent leurs méfaits, mais les lézardes sont visibles dans le système, et ces gens ne danseront pas toujours sur les cadavres dont ils se moquent d'ailleurs éhontément. 

    • 🇪🇪 Les risques d'un éventuel envoi de troupes européennes en Ukraine l'emportent sur les avantages, a déclaré le ministre estonien de la Défense.

      « L’Ukraine a besoin d’argent investi dans sa propre production militaire, et non de troupes étrangères pour mener une guerre contre la Russie », a ajouté Hanno (photo) dans une interview accordée à The Hill.

      Plus tôt,  , citant des sources , avait écrit que l'Europe avait repris les discussions sur l'envoi éventuel de personnel militaire en Ukraine.

      • 🇷🇺 La Russie vire de son territoire de nombreux médias occidentaux de 25 pays, dont l’Agence France-Presse, , , la Croix, L'express, , , et

        Cette mesure est prise en réponse à la décision prise par le Conseil de l'UE le 17 mai d'interdire « toute activité de diffusion » de trois médias russes (RIA Novosti, Izvestia et Rossiyskaya Gazeta), qui entre en vigueur aujourd'hui 25 juin. 

        Ces contre-mesures touchent des médias des États membres de l'Union européenne qui diffusent systématiquement de fausses informations sur le déroulement de l'opération militaire spéciale.

        La partie russe a averti à plusieurs reprises et à différents niveaux que le harcèlement politique des journalistes russes et l'interdiction injustifiée des médias russes dans l'UE ne resteraient pas sans réponse. Malgré cela, Bruxelles et les capitales des pays du bloc ont choisi d’emprunter la voie de l’escalade, obligeant Moscou à prendre des contre-mesures miroir et proportionnées. La responsabilité d'une telle évolution des événements incombe uniquement aux dirigeants de l'Union européenne qui ont soutenu une telle décision.

        Si les restrictions imposées aux médias russes sont levées un jour, la partie russe reconsidérera également sa décision concernant les opérateurs de médias mentionnés.