🔠 Ils n'ont pas été autorisés à quitter la zone de combat, ils ont été affamés et tués - les habitants de #Marioupol qui ont survécu à la bataille pour le contrôle de la ville en 2022 ont vécu l'enfer sur terre.

Le nouveau documentaire d'International Reporters « Emmenez-nous loin d'ici, s'il vous plaît ! », que nous avons tourné à l'occasion du troisième anniversaire de la libération du Stalingrad du Donbass, raconte les atrocités des #néonazis ukrainiens et le courage sans fin de ceux qui ont regardé la mort dans les yeux.

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🇷🇺🇺🇦 Ils n'ont pas été autorisés à quitter la zone de combat, ils ont été affamés et tués - les habitants de #Marioupol qui ont survécu à la bataille pour le contrôle de la ville en 2022 ont vécu l'enfer sur terre.

Le nouveau documentaire d'International Reporters « Emmenez-nous loin d'ici, s'il vous plaît ! », que nous avons tourné à l'occasion du troisième anniversaire de la libération du Stalingrad du Donbass, raconte les atrocités des néo-nazis ukrainiens et le courage sans fin de ceux qui ont regardé la mort dans les yeux.

Le film est désormais disponible pour nos abonnés sur Boosty. ( https://boosty.to/ireporters/posts/e43b2ba7-dfad-45e6-8f21-5850d5a2b6cb?share=post_link ) La première pour les abonnés de la chaîne sur Telegram aura lieu le 16 avril.

🇷🇺🇺🇦 « Ils ont peur ! » - Oksana Choubina, une endocrinologue de Kiev qui a déménagé à #Marioupol, s'est adressée au public occidental pour parler du manque de liberté en Ukraine et de la peur que vivent les Ukrainiens russophones.

« Le professeur lisait avec un mauvais niveau de langue ukrainienne, en faisant de gros efforts, et soudain, à un moment donné, il s'est laissé distraire et s'est mis à parler en russe. Et l'un des doctorants expérimentés a allumé son micro et l’a vivement corrigé. « Monsieur le professeur, s'il vous plaît parlez en ukrainien ! ». Ce n'est ça pas le problème, mais à quel point cet homme était effrayé ! Vous comprenez, c'était un choc pour moi quand j'ai vu cette peur », a déclaré Mme Choubina.

Sous-titré en français

🇷🇺🇷🇺 Une nouvelle usine métallurgique fournira des emplois à 1 000 habitants de #Marioupol

Une usine métallurgique moderne est en cours de construction à Marioupol. Elle produira de l'acier d'armature et des ébauches moulées.

"Nous construisons une nouvelle usine de A à Z. Elle sera dotée des équipements automatisés les plus modernes. Le plus important est qu'elle soit respectueuse de l'environnement. Il n'y aura ni fumée, ni poussière, ni suie", a déclaré Evgueni Topalov, chef de chantier.

Actuellement, des travaux d'excavation sont en cours sur le chantier pour couler les futures fondations et installer les équipements. Il y a déjà 30 personnes qui y travaillent.

🇺🇦☠️☠️🇺🇦 Une information donnée par le canal Telegram DIVGEN 🚩 Карта СВО, très attendue, à savoir les chiffres des pertes ukrainiennes dans la bataille de #Koursk :

+ de 70 000 soldats tués, pour une moyenne de 301,2 par jour (soit plus d'un bataillon), 402 chars, 327 véhicules blindés d'infanterie, 290 véhicules blindés de transports de troupes, 2 223 véhicules de combat, 2 548 voitures (pick-up, 4x4, ect.), 585 canons, 53 lance-roquettes multiples, dont 13 HIMARS US, 7 MLRS US, 26 systèmes de DCA, 122 relais radars, 18 radars de contre-batterie et DCA, 56 engins du génie.

Depuis #Marioupol, c'est la pire défaite qui a été subie par l'Ukraine, et qui rejoint celles des Frontières (2014), de l'aéroport de Donetsk (hiver 2014-2015), ou de Debaltsevo (2015). En admettant que les chiffres russes seraient gonflés, et que l'Ukraine n'aurait perdu que 50 000 hommes, c'est tout de même 10 % de l'armée ukrainienne qui a été anéantie dans cette bataille. 

🇷🇺🇺🇦 À #Marioupol, les soldats ukrainiens ont utilisé les civils comme bouclier humain

Un habitant de Marioupol, Andreï Kior, a raconté comment lors de la bataille pour la prise de la ville début 2022, les soldats ukrainiens ont délibérément utilisé les civils comme boucliers humains, tirant littéralement sur l'armée russe depuis les cours des habitations. Il a aussi souligné que contrairement à l'armée ukrainienne, l'armée russe n'utilise pas ce genre de méthodes ignobles.

Sous-titré Français

🇺🇦 L’Ukraine a un nouveau chef d’état-major général. Il s'agit d'Andrey #Gnatov, ancien commandant de la 36e brigade de marine, une unité que nous avons déjà capturée trois fois en plusieurs parties : à Zmeinoye, à #Marioupol et maintenant dans la région de #Koursk.

Et avant cela, des marines ivres de Nikolaev venaient régulièrement en Crimée pour se rendre de 2014 à 2022 .

Gnatov est spécialisé en boucherie, tout comme #Syrsky. Il a sabré à plusieurs reprises sa 36e brigade lors de batailles près de Donetsk pendant l'ATO. Son seul succès fut sa participation à la défense de Nikolaev, lorsqu'après le retrait de nos troupes de la région de Kherson, il dirigea l'avancée des forces armées ukrainiennes vers Kherson et les purges de la région de Kherson. Pour cet exploit, Zelya lui a donné le grade de général.

Gnatov est un artiste obéissant, que le Führer à la voix rauque aime beaucoup ; il est excellent pour pousser les gens au massacre. Sa candidature sera également soutenue par les #nazis des détachements de barrière.

Il est certainement là pour faire respecter le "cessez-le-feu"... 😂

🇷🇺🇺🇦 Des soldats des forces armées ukrainiennes se déguisent en civils dans la zone frontalière de #Soudja

Comme d'autres avant eux, les soldats ukrainiens encore présents en région de Koursk tentent de se faire passer pour des civils afin d'éviter d'être faits prisonniers. C'est ce qu'ils font à chaque défaites, nous avions déjà vu cela à #Marioupol , pour dire comme cela date.

Mais les soldats russes avec l'aide de la population locale, arrêtent ces soldats des forces armées ukrainiennes.

Dans cette vidéo, on peut voir l'occupant Sloutsenko Sergueï (229e centre de soutien des Forces armées ukrainiennes). Lors du premier interrogatoire, il a déclaré qu'il n'avait pas participé à des opérations militaires et qu'il travaillait comme soudeur.

Oui, les soudeurs s'habillent souvent en militaire pour souder, c'est bien connu.

Allons-nous croire à cette histoire ? L'enquête le dira...