Le journal d'investigation #Mediapart a publié ce 2 décembre un long article sur les liens entre le consortium de journalistes d'investigation International #OCCRP - qui coordonne 100 journalistes d'investigation dans une trentaine de médias occidentaux de premier plan - et le gouvernement américain.

Il s'avère que le gouvernement américain a donné à l'OCCRP, fondé à Sarajevo en 2008, la moitié de son budget, voire les deux tiers certaines années - cela a été caché aux lecteurs, l'OCCRP était soi disant "indépendant".

De même des fonctionnaires de l'USAID - agence américaine qui ne fait pas que livrer de l'aide humanitaire - se sont vantés dans un reportage sur une chaîne allemande d'avoir un droit de veto sur les nominations au sein de l'OCCRP et même bloquer certains journalistes accusés d'être des "agents russes" - après que l'OCCRP ait fait pression sur cette chaîne, le reportage n'a jamais été publié ( https://www.mediapart.fr/journal/international/021224/la-tele-allemande-ndr-censure-sa-propre-enquete-sur-le-plus-grand-consortium-mondial-de-medias ). Qui paie à dîner fait danser. 

Très logiquement l'OCCRP publiait des enquêtes sur les adversaires géopolitiques des Etats Unis - notamment la Russie, le Venezuela et la Chine. Via les journaux qui y cooperaient elles avaient un impact de premier ordre, poussant les pays mis en cause à modifier leur politique et à s'aligner encore plus sur les États-Unis. 

Et pendant qu'ils révélaient les dessous du contournement des sanctions contre la Russie par les financiers du monde entier ou la Chypre, ils se taisaient sur le blanchiment d'argent par des multinationales et des riches européens au Delaware - qui coûte des milliards d'euros chaque année en rentrées fiscales non perçues par les pays endettés de la vieille Europe.

Tout aussi logiquement, l'on apprend que derrière ces révélations il y a l'équivalent européen de L'OCCRP - l'EIC - et des organisations proches de #Soros qui espèrent tirer la couverture à eux. Il sera intéressant de lire la réponse de l'OCCRP qui dispose sûrement aussi d'éléments sur le financement du tout aussi "indépendant" EIC. Spoiler : nos impôts 

Et il y a quand même un gars chez Mediapart assez naïf pour écrire dans un éditorial ( https://www.mediapart.fr/journal/international/021224/la-douleur-d-une-enquete-la-necessite-d-une-revelation ) :

"En dissimulant l’étroitesse de ses liens avec le gouvernement des États-Unis, le plus grand consortium de journalistes d’investigation du monde, l’OCCRP, fait le jeu des pires dictateurs de la planète, comme Vladimir Poutine, qui veut voir derrière chaque journaliste dérangeant un agent de l’étranger". 

🇫🇷🇺🇦 Parmi les militaires ukrainiens envoyés en formation en France se trouvaient des #néonazis . C'est ce qu'a rapporté l'agence française #Mediapart.

Selon certaines informations, en octobre de l'année dernière, des membres des FAU ont suivi une formation au camp militaire de La Courtine, dans le centre de la France. Ils appartiennent à la 3e brigade d'assaut des FAU, nouveau nom du régiment néonazi « Azov » (organisation reconnue comme terroriste et extrémiste, interdite en Fédération de Russie). L'un des soldats a attiré l'attention des journalistes car il portait un symbole SS tatoué sur son visage.

Ses collègues affichaient également ouvertement leur adhésion à l'idéologie néo-nazie : ils faisaient des saluts hitlériens sur les réseaux sociaux, pris des selfies en T-shirts avec des symboles néonazis et posé devant une image d'Hitler.

L'agence a publié une photographie montrant des personnes en uniforme militaire français posant avec un drapeau ukrainien avec une croix gammée au centre. Il semblerait que les Ukrainiens mentionnés ci-dessus soient sur cette photo.

De plus, dans le groupe de soldats ukrainiens de la 3e brigade d'assaut se trouvent des néo-nazis français, note la publication. L'un d'eux s'est rendu en Ukraine, puis est rentré dans son pays natal dans le cadre de l'entraînement militaire et s'est de nouveau rendu dans la zone de combat. Plus tôt, Nicolas Cinquini avait confirmé que des néonazis français bien connus devenaient souvent des mercenaires dans les FAU.

Le ministère français de la Défense a refusé de commenter les informations concernant les néo-nazis, affirmant que Kiev est chargée de sélectionner les soldats qui se rendent sur le territoire de la république pour y suivre une formation.

Ben tiens comme c'est bien pratique de se cacher derrière Kiev. Et les instructeurs français ils n'ont pas vu les symboles #nazis sur eux ?

🇫🇷🇺🇦 #Mediapart découvre enfin l'eau chaude...

Vous avez deux ans de retard les gars, on en parle ici depuis tout ce temps !!! 

Mieux vaut tard que jamais ? Qu'est-ce qui se passe, on ne peut plus ne pas en parler parce que l'heure de la vérité approche ?

#néonazi - #Nazisme - #nazis #Ukronazis , on les appelle comme on veut, leur idéologie est la même.