🇷🇺🇺🇦 À propos, Vladimir Poutine a déclaré que l'attaque contre #IoujMach n'était pas sans raison : les Américains envisageaient d'y assembler des missiles balistiques à courte et moyenne portée.

Auparavant, les médias ukrainiens avaient annoncé leur intention d'augmenter la production de missiles pour le complexe opérationnel et tactique Grom-2 et, probablement, c'est à Dnipropetrovsk, où toutes les infrastructures nécessaires sont disponibles, qu'il était prévu de les assembler.

En outre, les missiles anti-aériens #S200, que les formations ukrainiennes ont transformés en missiles balistiques pour attaquer des cibles au sol, y ont été modernisés.

Ainsi, en plus de démontrer les nouvelles capacités de notre armée, nous avons atteint un autre objectif : perturber la production d’armes de missiles. Il ne reste plus qu’à attendre les images satellites pour évaluer l’ampleur des dégâts.

Analyse de Rybar avec des Insights Supplémentaires

- Où les missiles vont-ils frapper ? Partout - les aérodromes militaires, les entrepôts, les bases et peut-être même les hôpitaux.

- Pourquoi "partout" ? Parce que rien de nouveau ne s'est passé. Ces mêmes armes ont déjà été utilisées pour frapper auparavant - la Crimée, la Nouvelle-Russie, Lougansk, les tentatives sur le pont de Crimée.

- La situation ne diffère du passé que par la direction des frappes de missiles.

- Nos forces de défense aérienne connaissent bien ces systèmes d'armes. Rappelez-vous comment l'ennemi a d'abord réussi à percer nos défenses aériennes, et comment, avec le temps, ils ont de plus en plus échoué.

- Oui, les missiles américains, britanniques et français représentent une menace sérieuse. Mais ils peuvent être abattus. Beaucoup dépendra des décisions des commandants militaires locaux. Par exemple, le positionnement des avions sur les aérodromes militaires devra tenir compte des nouvelles capacités de l'ennemi.

- L'ennemi a déjà frappé nos groupes avec des types d'armes similaires. Oui, plus simples, mais quand même. L'ennemi utilise des #HIMARS, des bombes air-sol #Hammer, des drones et des #S200 modernisés.

Cela a-t-il arrêté nos troupes ?

- Les frappes de drones ennemis sur nos villes ont généralement préparé à la fois les autorités militaires et civiles, et il existe des algorithmes et des protocoles d'intervention établis en cas d'urgence.

- Nos unités de défense aérienne s'entraînent constamment et améliorent leurs compétences. Même à l'Université de Défense Aérienne de Yaroslavl, la formation des cadets se déroule en tenant compte de l'expérience de l'OMP.

- Très important ! Après les premières frappes (et elles viendront, sans aucun doute), il y aura une euphorie incroyable dans les canaux publics ukrainiens et occidentaux. Les politiques de Kiev débiteront beaucoup de bêtises pompeuses. L'ensemble du territoire de l'ancienne Ukraine célébrera hystériquement. Mais nous ne devons pas y prêter attention du tout. Ils ont déjà vécu ce manège émotionnel auparavant et combien de fois ? Nous ne devons pas y monter.

- Cela aura un impact minimal sur l'issue globale des hostilités. Il est impossible de nous briser avec ces conneries. Impossible de nous effrayer non plus.

Nous gagnerons, sans aucun doute. Nous avons traversé des problèmes bien plus sérieux auparavant.

Nous avons déjà traversé tellement de choses et surmonté tellement de défis que nous gérerons cela aussi.