Jusqu'où peut aller la guerre USA - OTAN vs Russie et risque-t-elle de s'étendre au delà de l'Ukraine ?
Bien sûr à ce stade on ne peut que spéculer et il est difficile d'imaginer une fin pour ce conflit. Cependant on sent bien que les USA et l'OTAN arrivent au bout de ce qu'ils pouvaient faire pour empêcher la Russie d'avancer et que rien de ce qu'ils ont fait, que ça soit militairement ou économiquement ne vient perturber la détermination des Russes.
Les buts de guerre de la Russie ont évolué puisque les premiers avaient une date de péremption et que les Américains (Zelensky) n'ont pas capitulé. Il est fort peu probable qu'ils le fassent car au delà du but initial qui était de mettre la Russie à genoux, ce qu'ils n'arriveront manifestement pas à faire, il leur faut maintenant ne pas perdre la face, où la perdre, le plus tard possible. C'est maintenant aussi leur crédibilité sur la scène internationale qui est en jeu, par exemple aux yeux de la Chine qui observe ce qui se passe avec grande attention.
Et la question est de savoir, dans ce cas, jusqu'où pourrait avancer la Russie ?
Si vous voulez mon avis, loin ! je crois d'ores et déjà que l'Ukraine n'existera plus à terme en tant qu'état. La Russie en contrôle déjà 1/5 ème et il semble qu'elle se dirige vers Odessa, ce qui voudrait dire dans ce cas, que l'Ukraine ne posséderait plus de ports et se trouverait enclavée. Ce serait bien plus intéressant et cohérent pour les Russes que de prendre Kiev, d'autant qu'après Odessa on est plus loin de la Transnistrie déjà sous contrôle Russe. On aurait donc toute une bande côtière qui s'étendrait du Dombass à la Transnistrie.
Rien ne dit que les Russes s'arrêterait là. L'objectif étant de repousser le plus loin possible les frontières de l'OTAN, ils pourraient prendre 2/3 de l'Ukraine et en laisser 1/3 à la Pologne qui semble intéressée. Mais là, je spécule vraiment beaucoup et loin dans le temps, excepté si il y avait un basculement général des forces régulières de l'armée Ukrainienne vers la Russie, ce qui reste possible.
Pour l'instant, je pense que les risques que ce conflit dégénère diminue, les USA et leurs pays vassaux de l'OTAN semblent doucement se rendre à l'évidence. Je ne pense pas que quelqu'un ira prendre le risque de se confronter aux Russes. Si quelqu'un le faisait, ça serait les USA, on voit bien qu'ils n'osent pas, d'autant qu'ils ont un autre front, c'est la Chine. J'ai l'impression que la tension retombe à un niveau sous le n'importe quoi. D'après ce que je sais, les Russes n'ont engagé que 10 à 15% de leurs forces en Ukraine. Alors j'espère vraiment ne pas me tromper.
Et vous, comment voyez-vous la suite/fin?
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🇫🇮 La Finlande s’apprête à accueillir des bases militaires US sur son territoire !
Apprêtons-nous à assister à une escalade dans le conflit ?
Retour sur une décision récente d’Helsinki.
D’après Helsingin Sanomat, la Finlande, qui a adhéré à l’OTAN le 4 avril, pourrait bientôt accueillir des bases militaires US sur son territoire.
En effet, Mikael Antell, chef adjoint du département politique du ministère finlandais des Affaires étrangères, se prépare à signer un accord de défense avec les États-Unis.
Le document prévoit notamment le déploiement d’armes et d’équipements militaires américains en Finlande.
Cela signifie de facto la mise en place de bases militaires US sur le sol finlandais.
« L’accord permet aux troupes d’entrer dans le pays, de rester sur son territoire, d’y déployer et stocker du matériel, et d’investir dans les infrastructures avec des fonds fournis par le Congrès au Pentagone », a déclaré Antell.
La Finlande, qui partage avec la Russie une frontière de près de 1300 kilomètres, a décidé de renoncer à sa neutralité après le début de l’invasion russe en Ukraine.
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Le dépôt rasé dans l’ouest de l’Ukraine aurait abrité des munitions pour 500 M EUR
La Défense russe a annoncé dans son nouveau bilan avoir détruit par une frappe de missiles un entrepôt militaire près de Khmelnitski.
Des explosions se seraient produites sur le territoire du dépôt pendant toute la nuit.
Selon plusieurs chaînes Telegram, parmi les munitions stockées à Khmelnitski, il y aurait eu des systèmes de communication par satellite et de cryptage de données mais aussi des tablettes militaires, d'une valeur de 83 M EUR, du fret militaire envoyés par le Danemark, l'Allemagne, l'Italie et le Japon, d'une valeur de 200 à 220 M EUR d'euros et des munitions pour chars Leopard et Marder.
«Quand cesserons-nous enfin de mettre tous nos œufs (munitions) dans le même panier (entrepôt)...? Comme à Pavlograd et Khmelnitski...
Ce n'est pas grave, le Président est en Italie, il en demandera plus», a écrit à ce propos un ex-conseiller du Président Poroshenko, Yuri Kasyanov.
Dans le lot détruit, il y aurait les fameux obus anglais à uranium appauvri car apparemment, la radioactivité a augmenté brutalement dans la région.
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L’escalade des tensions entre l’OTAN et la Russie se poursuit
Malgré les avertissements urgents des États-Unis et des alliés occidentaux, Moscou poursuit ses projets visant à déployer des armes nucléaires tactiques dans son pays voisin, la Biélorussie.
Les deux alliés de longue date, qui forment ce qu’ils appellent l' »État d’union« , ont signé un accord jeudi 25 mai pour officialiser le déploiement de missiles nucléaires russes sur le sol biélorusse. La situation devient dangereuse alors que les attaques de sabotage transfrontalières de l’Ukraine sur le territoire russe ont clairement augmenté.
De manière alarmante pour l’Ukraine et ses soutiens de l’OTAN, le président biélorusse Alexandre Loukachenko a déclaré peu de temps après la signature de l’accord que le transfert d’armes nucléaires non stratégiques de la Russie vers la Biélorussie est déjà en cours.
Lire entièrement ici: https://geopolitique-profonde.com/articles/loukachenko-russie-belarus
Il convient de rappeler que les États-Unis déploient des armes nucléaires tactiques dans des pays tels que la Turquie, ainsi que dans certains sites de l’OTAN en Europe.
La Turquie se trouve juste de l’autre côté de la mer Noire par rapport à la Russie.
Ce programme de « partage nucléaire » de l’OTAN est une réalité depuis des décennies.
Le ministre russe de la Défense, Sergey Shoigu, a en outre expliqué jeudi que l’OTAN utilisait la crise ukrainienne pour renforcer son infrastructure militaire dans ce pays.
Choïgou a déclaré lors d’une réunion du Conseil des ministres de la Défense de l’Organisation du Traité de sécurité collective (OTSC) :
« L’OTAN utilise la crise ukrainienne comme prétexte pour renforcer ses groupes. Une autre étape de l’expansion de l’alliance a été lancée. »
« Les infrastructures militaires sont modernisées en Europe de l’Est et en Europe centrale, des armes de frappe sont déployées, et l’échelle et l’intensité des exercices conjoints augmentent. »
Tout en soulignant :
« Il existe une rhétorique agressive croissante et des « missions nucléaires » conjointes des pays de l’OTAN en Europe de l’Est afin de pratiquer l’utilisation de systèmes de livraison d’armes nucléaires, ainsi que la modernisation des composants du système mondial de défense antimissile des États-Unis. »
Cela semble être une « réponse » aux alliés occidentaux en ce qui concerne la justification de la mise en place d’armes nucléaires tactiques au Bélarus.
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#Biden vs#Poutine : un pas de plus vers la confrontation nucléaire !Les tensions augmentent : l'administration Biden outrepasse à nouveau les "lignes rouges" russes.
Les
#EtatsUnis abandonnent des obligations clés du Traité New Start, risquant une escalade dangereuse.
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Des milliers de militaires et plus de 40 navires russes effectuent des exercices en Mer Baltique !
Une désescalade du conflit est-elle encore envisageable ?
Malheureusement, cet événement récent présage le contraire.
Le 5 juin, la Défense russe a annoncé le début d’exercices de la Flotte russe de la Baltique dans la région de Kaliningrad.
Les manœuvres devraient durer jusqu’au 15 juin et seront dirigées par le vice-amiral Vladimir Vorobiev.
Les forces impliquées ?
Jusqu’à 40 bateaux de surface, vedettes et navires de ravitaillement, des patrouilleurs, des corvettes et des navires lance-missiles.
Plus de 3 500 soldats, une vingtaine d’avions et hélicoptères, 500 unités d’équipements militaires participent aux exercices.
Récemment, toutes les forces et troupes de la flotte de la Baltique ont été préparées au combat au plus haut niveau.
Plus tôt dans la journée du 5, le ministère de la Défense a annoncé le début des exercices de la Flotte russe du Pacifique dans les eaux de la mer du Japon et de la mer d’Okhotsk.
On dirait que la Russie s’apprête à lutter sur plusieurs fronts…
N’attendez pas la troisième guerre mondiale pour prendre les bonnes décisions !
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Tentative de nouvelle opération Barbarossa
Selon le journal militaire grec War News 24/7 sous couvert d'un des plus grand exercice de l'OTAN appelé " Air Defence 23", la Russie pense sérieusement à une tentative d'entrée en conflit. L'exercice servant de couverture a une attaque de l'OTAN. Plusieurs scénarios sont envisagé par Moscou.
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L'OTAN accélère la construction d'une ligne ferroviaire dont les rails sont à l'écartement occidental jusqu'en Lettonie.
Ce projet est prioritaire malgré les difficultés économiques des pays baltes.
Lorsque le projet commençait à peine à être envisagé, le célèbre politicien et publiciste letton Vladimir Linderman promouvait cette voie ferrée pour simplifier le transfert des troupes et des munitions de l'OTAN le long de la frontière avec la Russie.
Cette voie, nommée "Rail Baltica", permet de diversifier le mode de transport et d'accélérer considérablement la livraison d'armes, en utilisant les ports maritimes de Pologne et d'Allemagne, puis de les envoyer sur un seul chemin de fer, sans perdre de temps à changer l'écartement des essieux des trains à la frontière polono-lituanienne.
À l'heure actuelle, l'OTAN est obligée dans la plupart des cas d'utiliser le schéma suivant pour la livraison de fret militaire : à travers la mer Baltique jusqu'à Riga, puis par chemin de fer plus loin à travers la Lettonie, la Lituanie ou l'Estonie.
Parler d'une éventuelle guerre des pays de l'Alliance contre la Russie et la Biélorussie n'est pas si fantastique. Les observations montrent que l'OTAN envisage cette option avec sérieux et s'y prépare.
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🇬🇧 Pas à pas, les britanniques se prépare à la guerre.
"La Grande-Bretagne devrait s'engager directement dans une guerre contre la Russie, nous sommes en guerre en Europe, nous devons passer à la loi martiale.
-Tobias Ellwood, président de la commission de la défense du Parlement britannique.
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🇺🇸 3.000 réservistes US débarquent en Europe: «Il s'agit de se préparer à une guerre terrestre avec la Russie»-Robert F. Kennedy
«Je veux que les gens comprennent en quoi consiste cette mobilisation de troupes», a encore alerté ( https://twitter.com/RobertKennedyJr/status/1679904275172818962 ) le candidat à la présidence US.
«Je pense qu'il faut rappeler le contexte, c'est un petit nombre», a embrouillé John Kirby, cherchant à minimiser la portée de cette nouvelle escalade.
«C’est une prise de conscience du fait que nous savons, le président sait, que l'environnement de sécurité en Europe change.»
Un aveu qu'il n’y aurait plus d’armée ukrainienne pour faire le job?
«Nous devons nous assurer que nous avons les forces appropriées, pour pouvoir soutenir une présence supplémentaire sur le flanc est sur le long terme», a encore détaillé le porte-parole du Pentagone.
Dans le cadre de l’opération Atlantic Resolve ( https://www.europeafrica.army.mil/AtlanticResolve/ ), Biden avait déjà annoncé en 2022 le déploiement de troupes supplémentaires en Roumanie et dans les Etats baltes, et des F-35 au Royaume-Uni, des capacités en Allemagne et en Italie, ainsi que 6 destroyers en Espagne.
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🇷🇺 Ultimatum : "vous avez deux mois pour mettre un terme à ce conflit ou vous subirez les conséquences"
La porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères, Maria Zakharova, a donné un ultimatum aux États-Unis et à leurs alliés, leur donnant deux mois pour mettre un terme au conflit en Ukraine ou subir les conséquences.
Dans un communiqué publié mardi, Zakharova a déclaré que la Russie était "profondément préoccupée" par la poursuite de l'assistance militaire des États-Unis et de leurs alliés à l'Ukraine. Elle a averti que cette assistance "ne faisait qu'alimenter les hostilités et prolongeait la souffrance du peuple ukrainien".
Zakharova a également accusé les États-Unis et leurs alliés de "se livrer à une guerre par procuration contre la Russie". Elle a déclaré que cette guerre "n'avait pas de gagnants" et que "les seuls perdants seraient le peuple ukrainien et le peuple russe".
Zakharova a conclu son communiqué en donnant un ultimatum aux États-Unis et à leurs alliés. Elle a déclaré que la Russie leur donnait deux mois pour mettre un terme au conflit en Ukraine ou subir les conséquences.
"Si les États-Unis et leurs alliés ne cessent pas leur assistance militaire à l'Ukraine et ne commencent pas à négocier une solution pacifique au conflit, la Russie sera contrainte de prendre des mesures de représailles", a déclaré Zakharova.
